Aller au contenu
Avertissement: Pour améliorer l'expérience utilisateur sur ce site, nous utilisons des cookies.

Archives de presse

« Particulièrement dommage que l’on doive faire son shopping seul et que les professions de contact ne peuvent même pas ouvrir sur rendez-vous. C’est la porte ouverte au tourisme transfrontalier ».

Bruxelles, le 27 novembre 2020 - Le SNI réagit avec soulagement à la réouverture des magasins à partir du 1er décembre. « Donner le feu vert à nos commerçants de rouvrir dans des conditions sûres était la seule décision juste », souligne Christine Mattheeuws, présidente du SNI. « Cependant, il est particulièrement regrettable que le gouvernement De Croo fasse la même erreur que le gouvernement Wilmès : faire son shopping seul, cela ne fonctionne pas. En outre, c'est aussi une occasion manquée pour les professions de contact qui ne pourront pas ouvrir même sur rendez-vous. Cela va être la porte grande ouverte au tourisme transfrontalier. Nous voulons leur offrir des perspectives le plus rapidement possible. Le SNI regrette enfin que l’horeca continue à être fermé à si long terme. « Il faudra de nouvelles mesures d’aide pour éviter un tsunami de faillites ! »

Les décisions du Comité de  concertation de ce vendredi laissent un sentiment très mitigé au SNI. « D'une part, nous sommes satisfaits et soulagés que nos commerçants pourront à nouveau ouvrir dès le 1er décembre car pour eux, il était plus que temps. Par contre, nous ne comprenons pas que le shopping doive se faire seul. Le passe récent a montré que le shopping en solo ou à deux cela fait une grosse différence. En outre, nous ne pouvons pas comprendre que cette décision ne s’appliquera pas aux professions de contact et cela même sur rendez-vous. C'est incompréhensible et inacceptable. Ce ne sont pas des clusters de contamination ! Nous allons donc demander au gouvernement à la demande de nos membres de ces secteurs d'expliquer la raison de cette décision. Les coiffeurs, esthéticiens ou les autres professions de contact aux Pays-Bas et en France vont maintenant être inondés par le tourisme frontalier. Le virus ne connaît pas de frontières et cela lui donnera la possibilité de circuler davantage. Nous voulons que les entrepreneurs ayant un métier de contact en Belgique aient très rapidement une perspective, », réagit Christine Mattheeuws, présidente du SNI.

« Les mesures de soutien devront continuer à être valables pour tous les secteurs qui seront encore fermés ou encore extrêmement limités. Dans le cas contraire, il y aura de nombreux drames financiers et humains ».

Partagez

Devenez membre du SNI

et profitez de tous les avantages de votre affiliation.

Affiliez-vous